Aller au contenu principal

Rechercher sur le site

171 - 180 di 721 risultati

Ales

Situé sur le versant est du Monte Arci, Ales est en même temps le plus gros village de la Marmilla et probablement le plus petit siège épiscopal de toute l'Italie . son plan urbain et le bel aspect de certains de ses édifices ont fait que, depuis le Moyen-Âge, ce village a pu être élevé au rang de chef-lieu de diocèse. De plus, le territoire de Ales est riche d'un point de vue archéologique car ses très importants gisements d'obsidienne ont été exploités dès la préhistoire. En outre, la période de domination romaine est liée à la fondation, en 62 apr. J.-C., de la colonie de Uselis. La cathédrale de San Pietro, construite en 1686 par le génois Domenico Spotorno, abrite un rare crucifix datant du XIVe s. La place sur laquelle elle s'élève, dans la partie haute du village, accueille également le Palais épiscopal, le Séminaire et l'Oratoire de la Madonna del Rosario. Ales est aussi le village natal de Antonio Gramsci (1891-1937), comme l'indique la plaque ornant le mur de la maison où il est né . qui plus est, le sculpteur Giò Pomodoro lui consacra un lieu public de forme triangulaire aménagé avec un certain nombre d'éléments symboliques tels qu'une fontaine et une cheminée. La population locale participa d'ailleurs à cette réalisation en choisissant, entre autres choses, les pierres à utiliser.

La fête la plus importante de Ales est celle de Santa Maria, le 8 septembre. Les fidèles préparent la statue de la sainte en la couvrant de tissus en soie garnis de dentelles colorées et de chaînes en argent avec des pendentifs. Le rite religieux est annoncé par les sagrestaneddus qui parcourent les rues du village en priant en sarde et en faisant tinter leurs clochettes pour inviter la population au rosaire du soir. À la dernière étape, les fidèles allument un grand feu alimenté par du bois cueilli sur le Monte Arci et le soir, tous récitent is goccius cantaus. Cette fête, qui dure trois jours, prévoit deux processions journalières de cavaliers en costume sarde ou en habits de tous les jours transportant des étendards brodés. Enfin, le musée des Jouets traditionnels de la Sardaigne est très intéressant à visiter.

S'Archittu

Un lieu magique à visiter au moins une fois dans la vie, le symbole de la ‘veine’ artistique de la nature, qui a inspiré des metteurs en scène et des écrivains et vous inspirera également. Dans la partie nord de la gracieuse bourgade de SArchittu, sur la côte de Cuglieri – un important centre du Montiferru – s'étend une falaise très blanche qui entoure une délicieuse petite plage et où s'ouvre un arc créé par l'action érosive des agents atmosphériques sur les roches calcaire sédimentaires, dénommés ‘lunaires’ pour les reflets qu'ils produisent. À l'origine c'était une grotte, maintenant c'est un monument naturel, sArchittu justement, parfaitement ‘fondu’ dans un cadre spectaculaire complété par trois ilots en forme de champignon, polis également par la patience des vagues. Vous arriverez la crique directement du bourg touristique en vous promenant à travers un chemin dallé au nord des maisons.

Le ‘pont’ naturel est magnifique au coucher du soleil, quand le soleil orange semble s'encastrer à l'intérieur, quasiment emprisonné dans l'arc : vos photos seront inoubliables. L’effet est très beau même de nuit, éclairé par les lumières artificielles. Les plus intrépides et experts ont l'habitude de plonger du sommet, d'environ 15 mètres de haut, et ce n'est pas un hasard s'il a servi de cadre de championnat mondial de plongeons des grandes hauteurs en 2001. La ‘petite plage de l'arc’ bien à l'abri, au contraire, est l’idéal pour la détente : un tapis de sable très fin de couleur ocre avec des reflets dorés, émaillée de fragments de coquilles qui s'abîme dans un fond bas et sablonneux. Le panorama tout autour va du bleu intense de la mer au vert du maquis. Les services et le confort ne manquent pas: un grand parking, accès pour les handicapés, location de canoës et pédalos, points de ravitaillement et, tout près, des hôtels et des restaurants..

SArchittu, célébré par le poète Giovanni Corona et de l'écrivain Flavio Soriga, a été souvent un plateau cinématographique, à commencer par '‘2+5 missione Hydra’ de Pietro Francisci en 1966. Vingt ans plus tard, Lina Wertmuller y a tourné la scène initiale de ‘Notte d’estate con profilo greco, occhi a mandorla e odore di basilico’. Plus récemment il a été choisi par les metteurs en scène Davide Manuli (‘La légende de Kaspar Hauser’, 2011) et Rocco Papaleo (‘Una piccola impresa meridionale’, 2012).

À l'entrée opposée du bourg touristique s'étend la spiaggia Stella, une plage étroite et longue avec de petits galets, protégée par le grand rocher de la Baleine. Des rochers calcaires émergent du fond bas, les couleurs des eaux vont du vert émeraude au bleu. Le bord de mer du village touristique est fermé par les rochers clairs de Torre del Pozzo. Sous l’ancienne tour, vous trouverez une petite crique, sa Capanna, caractérisée par des formations de tuf.

Santa Caterina di Pittinurri, la principale bourgade maritime de Cuglieri, qui se trouve à 14 kilomètres, s'est développée autour de l'église en l'honneur de la sainte, et se dresse à deux kilomètres plus au nord de sArchittu. Sa magnifique petite plage est enchâssée dans une anse ‘en fjord’ entre sa Rocca de Cagaragas, une falaise calcaire à pic sur la mer et le promontoire de la tour Pittinuri, ornée de grottes.

La crique de S’Archittu hébergeait probablement le port de l'ancienne ville de Cornus, dont la zone archéologique se trouve tout près, sur le haut-plateau de Campu ‘e Corra. Fondée par les Carthaginois à la fin du VIe siècle av. J.-C., Cornus fut le théâtre de la résistance sarde-punique avec la célèbre révolte menée par Ampsicora contre les Romains durant la seconde guerre punique (215 av. J.-C.). La partie la plus représentative du site est l'ensemble tardo-antique chrétien de Columbaris: on a trouvé trois édifices basilicaux et deux des Ve-VIe siècles et un autre plus ancien, outre un vaste cimetière (IIIe-IVe siècle).

Sud

Cala Sa Figu

La Cala Sa Figu, qui se trouve dans la localité de Capo Ferrato sur la commune de Muravera, est une plage de fin sable doré. Bordée de falaises et délimitée par le promontoire de Capo Ferrato accueillant le phare du même nom, elle est ourlée d'une épaisse végétation. Cette plage, qui n'est en réalité qu'une succession de criques, garantit une totale tranquillité à ses visiteurs qui préfèrent souvent y accéder en bateau.

Emprunter la route panoramique ' Orientale sarda 125 ', prendre ensuite la route provinciale 18 à hauteur de Olia Speciosa et suivre les indications pour Feraxi . peu avant d'arriver dans cette localité, la crique se voit sur la droite. Continuer à pied.

Dotée d'un petit parking, les bas-fonds qui la caractérisent permettent aux enfants de jouer en toute sécurité dans l'eau. Destination idéale des surfeurs, elle est également très appréciée des chasseurs sous-marins.

Fonni

« Un horizon fabuleux entoure le village : les hautes montagnes du Gennargentu, des sommets lumineux presque profilés d'argent, dominent les grandes vallées de la Barbagia, qui montent, comme d'immenses coquilles grises et vertes, jusqu'aux crêtes où Fonni, avec ses maisons en pierrailles et ses allées en pierre, défit les vents et les éclairs ». C'est ainsi que le prix Nobel Grazia Deledda décrit magnifiquement dans « Cenere » (1903) ce qui est aujourd'hui le centre le plus important de la Barbagia di Ollolai avec ses quatre mille habitants. Le bourg se dresse à mille mètres d'altitude qui en font une station de ski célèbre grâce aux installations de remontée des sommets Spada et Bruncu Spina (plus de 1800 mètres). En hiver, il est caractérisé par d'intenses chutes de neige et des sommets blanchis, durant les autres saisons, il offre des couleurs magnifiques : les fleurs de pivoine, gentiane, églantine et rose pourpre encadrent les forêts. C'est le lieu des parcours intenses de trekking, entre des bois et des sources, dans des réserves avifaunistiques où l'on peut observer différentes espèces rares. C'est la patrie du chien de Fonni, une race recherchée pour défendre la propriété et les troupeaux.

Dans les quartiers historiques vous trouverez des maisons de montagne couvertes de scandulas, d'anciennes tuiles en bois, et vous admirerez les caractéristiques murales. Durant Autunno in Barbagia, ne ratez pas les caves exceptionnellement ouvertes aux visiteurs. Au centre, l'église de san Giovanni Battista en style gothique tardif et la basilique de la Vergine dei martiri, entourée de cumbessias et flanquée du couvent franciscain (1610) et de l'oratoire de san Michele (1760). Elle est enrichie de fresques, de reliquaires d'argent et d'un sanctuaire souterrain. Tout près, le musée de la culture pastorale, aménagé dans une maison de maitre du XIXe siècle, où vous pourrez revivre le déroulement de la vie agropastorale. D'autres édifices de culte d'un village, lié aux traditions et à la dévotion, sont l'église du Rosario, Santa Croce et le sanctuaire de la Madonna del monte. Parmi les traditions les plus intéressantes, vous apprécierez la confiserie (les typiques savoiardi), le palio de Fonni (ou des Communes), au début août, et le carnaval de Fonni, caractérisé par les masques d'Urthos et Buttudos. Le joyau archéologique du territoire, à quelques kilomètres du village, dans la direction de Pratobello, est l'ensemble de Gremanu, de la période nuragique. Enfoui dans un bois dense de chênes pubescents, c'est l'unique « aqueduc » nuragique connu dans l'Ile, associé à la nécropole Madau, composée de quatre tombes des Géants en forme de protomé taurine. L’établissement est daté entre les XVe et IXe siècles av. J.-C. et se compose en aval de trois temples (grand circulaire, à megaron et demi-circulaire), construits en basalte, calcaire, trachyte, alternés pour créer des effets chromatiques raffinés, des enceintes sacrées et environ cent cabanes d'un village et, en amont, d'un système articulé de canalisation et de captation articulé des eaux de sources, un ouvrage d'ingénierie hydraulique qui exploitait l'eau pour les rites sacrés et la vie quotidienne.

Est

Villaputzu

Sur les pentes des collines du Sarrabus, le village de Villaputzu occupe une plaine alluviale du fleuve Flumendosa, non loin de la magnifique côte du sud-est de la Sardaigne. Le toponyme dérive du latin villa, et du sarde du Campidano putzu, qui signifie puits, en référence à l'abondante présence d'eau sur son territoire. Cette explique la très ancienne fréquentation humaine, attestée par les découvertes de sites archéologiques. Son territoire est parsemé de témoignages matériels remontant à des époques très anciennes : les domus de janas au lieu-dit Torre Murtas, de nombreux nuraghes, les restes de la ville phénicienne de Sarcapos, remontant au VIIe siècle av. J. C. Cette ville, qui a donné son nom au territoire du Sarrabus, était un centre de commerce important, étape pour les Phéniciens sur la route vers l'Étrurie. Au Moyen-Age, elle a fait partie de la curatoria de Tolostrai, dans le Judicat de Cagliari, puis, avec le château de Quirra, des possessions de Giovanni Visconti, seigneur de Gallura. Enfin, elle a été fief des Carroz. Le village est un réseau de ruelles organisé autour de l'église paroissiale Santa Caterina d'Alessandria bordées par des maisons traditionnelles de pierre.
L'église paroissiale actuelle est dédiée à Sainte Catherine d'Alexandrie. Elle a été construite entre la fin du XVIIe et le début du XVIIIe siècle, pour remplacer l'ancienne église dédiée à Saint Georges Martyr. Dans le village se trouvent l'oratoire du Rosario, datant de 1797, et l'église Santa Brigida, édifiée au XVIe siècle. Au hameau voisin de Quirra, au sommet d'une colline, se trouve le château, en ruines mais empreint d'un grand charme. Au château s'attache la légende de Donna Violante Carroz, une noble dame avide et impitoyable, qui aurait enterré dans une montagne un métier à tisser d'or et aurait trouvé la mort en tombant dans un précipice. La naissance du château est due aux Juges de Cagliari, qui le construisirent entre le XIIe et le XIIIe siècle. Non loin, l'église romane San Nicola di Quirra, construite en briques rouge, remonte au XIIe siècle. Elle présente une seule nef à abside en cul-de-four. C'est l'un des deux seuls édifices romans en briques existant en Sardaigne. Près de Villaputzu, se trouvent également les mines abandonnées de Gibas et de S'Acqua Arrubia. Le site archéologique de Sarcapos, sur la colline de Santa Maria est extrêmement intéressant : on y a retrouvé des traces importantes des civilisations phénicienne, attique et étrusque. Porto Corallo se trouve près de la côte, son nom évoque la richesse en corail des fonds marins. C'est aujourd'hui un port de pêcheurs, mais il était autrefois utilisé pour embarquer les produits miniers de l'intérieur. La plage est dominée par la tour espagnole ronde du XVIe siècle. Près de Porto Corallo se trouve aussi le château de Gibas, construit par les Espagnols pour protéger les côtes contre les incursions barbaresques. Mais Villaputzu a également un littoral magnifique, où se situent Murtas et Quirra : une magnifique succession de zones rocheuses et sableuses baignées par des eaux d'émeraude. Sept tours aragonaises du XVIIe siècle surveillent la côte : leurs formes géométriques en forme de tronc de cône se découpent sur un paysage marin à couper le souffle. Le 17 janvier, les rues du village s'animent à l'occasion de la fête de Saint Antoine, pour laquelle on allume de nombreux feux. En août, ce sont l'exposition d'artisanat et la Fête de la danse sarde, une manifestation accompagnée par le son caractéristique des launeddas. Le 31 octobre, Villaputzu vit un moment de divertissement collectif pour la manifestation de Is Animeddas : dès les premières heures de la journée, des groupes d'enfants parcourent le village avec un sac sur l'épaule et se disputent la première place pour recevoir des habitants du village le plus de cadeaux possible. Villaputzu est enfin un célèbre centre de production de vin, parmi lesquels le Nuragus et le Monica.

Est

Talana

Le village est situé au-dessus d'une vallée, à 700 m. d'altitude, dans un site qui domine un paysage magnifique : le port d'Arbatax et le Capo Bellavista au sud, et les monts du Gennargentu à l'ouest. Le toponyme pourrait être d'origine pré-romaine. Son territoire fut fréquenté à l'époque nuragique, comme en témoignent le nuraghe Bau e Tanca et le village nuragique de Praidas. Le village médiéval appartenait à la curatoria d'Ogliastra dans le royaume du Judicat de Càlari. Le centre du village, qui a beaucoup de caractère, est représentatif des villages à économie rurale.

Talana compte environ 70 sites nuragiques, répartis sur tout son territoire. Aux lieux-dits Silla Caccari, Funtana e Praigi se trouvent des tombes de géants et plusieurs domus de janas. Le village nuragique le plus important se trouve sur le haut plateau de Talana, à 1050 m. d'altitude. Près du village, se trouve Funtana Ovelio. Funtana 'e Filigi est à environ 4 km du village : l'été, c'est l'endroit idéal pour les promenades et les excursions dans la forêt de chênes où récemment les habitants du village ont construit une chapelle dédiée à Saint Jean. Les produits gastronomiques locaux sont excellents : des hors d'œuvre savoureux, des fromages goûteux, des plats de pâtes recherchés comme les culurgiones et les raviolis de ricotta fraîche faits de façon artisanale, et des viandes.

Est

Dorgali

L’histoire et l’archéologie, les traditions et l’artisanat, une mer enchanteresse et les montagnes sauvages du Supramonte, recouvertes de bois parfumés, vous transporteront dans un monde magique et légendaire. À Dorgali, vous trouverez un patrimoine naturel de 225 kilomètres carrés, un des plus beaux territoires communaux et étendus de la Sardaigne. Le long des rues de la vieille ville, vous flânerez entre les maisons en pierres volcaniques et les petites boutiques où les bijoux en filigrane et les poteries en céramique vous feront découvrir, au même titre que les tapis, la vocation artisanale du village. Les églises de San Lussorio, de la Madonna d’Itria et l’église paroissiale de santa Caterina sont des témoignages de la dévotion profonde de sa population. Vous voyagerez dans le temps en visitant le musée archéologique, où vous pourrez admirer les restes de l’âge nuragique (en particulier ceux du village-sanctuaire nuragique de Serra Òrrios) et de l’époque punique et romaine. À quelques kilomètres du village vous partirez en excursion vers la vallée de Lanaittu, jusqu’au mythique village de Tiscali, une forteresse défensive face à l’avancée romaine.

Juste à l’extérieur du village, en passant sous un court tunnel, véritable porte entre la montagne et la mer, vous poserez les yeux sur la splendeur du golfe d’Orosei. Une descente fascinante et sinueuse vous portera jusqu’au bourg de Cala Gonone, célèbre pour ses calanques et ses criques, attirant les amoureux de la nature et de l’aventure ou d’excursions romantiques en bateau. Elle s’allonge sur une colline abrupte qui descend jusqu’à la mer : où se détachent des plages de sable doré comme Cala Cartoe, Ziu Martine et Cala Osalla. Par la mer ou au cours d’une randonnée fascinante et stimulante, vous arriverez à Cala Luna, à la frontière avec Baunei, une des plus belles plages de la Méditerranée caractérisée par son sable fin et entourée d’une forêt de lauriers roses lui servant de cadre : elle fut également le décor du film culte « Travolti da un insolito destino » (Vers un destin insolite sur les flots bleus de l'été). En allant plus loin, vous rejoindrez la Codula di Luna, gorge encastrée dans des falaises de calcaire abruptes où vous pourrez apprécier le spectacle de genévriers millénaires servant de gardiens à la beauté du lieu, depuis des temps immémoriaux. De Cala Gonone, en randonnée guidée, vous rejoindrez les célèbres cavités naturelles des Grottes du Bue Marino, spectaculaire « forêt » de stalactites et stalagmites, autrefois habitat du phoque moine et abritant un lac salé souterrain. À l’intérieur des grottes, au cours de l’événement Cala Gonone Jazz, on célèbre chaque année un des concerts les plus spectaculaires que la Sardaigne propose. Concernant les découvertes maritimes, ne manquez pas l’occasion de visiter l'aquarium du village de Cala Gonone.

Tramatzu

Tramatzu est une plage de fin sable doré bordée de falaises.

Tramatzu se trouve dans la localité de Porto Corallo, sur la commune de Villaputzu. Emprunter la route panoramique ' Orientale Sarda 125 ' et suivre les indications pour le village. Avant le village, tourner sur la route provinciale 99 jusqu'à Porto Corallo, un petit port de plaisance après lequel une piste mène jusqu'à la crique.

Accessible aux personnes à mobilité réduite, la plage est dotée de nombreux services : un grand parking où les camping-cars sont autorisés, un camping, un bar et un restaurant. Les bas-fonds qui la caractérisent permettent aux enfants de jouer en toute sécurité dans l'eau. Il est possible de louer des parasols, des chaises-longues et des pédalos. Souvent battue par le vent, elle devient la destination idéale des surfeurs, même si elle est aussi appréciée des amateurs de chasse ou de plongée sous-marine.

Est

Cala Fuili

La plage de Cala Fuili, située dans le grand golfe d'Orosei, est faite de gravier clair et de sable, avec des rochers affleurants. Ses eaux sont transparentes et limpides, et le vert de la végétation offre des contrastes de couleurs magnifiques avec celles de la mer. Ce coin de nature a été choisi comme cadre pour le tournage du film ' Vers un destin insolite ' avec Mariangela Melato et Giancarlo Giannini (1974).