Sini
Entre les collines sinueuses de la Marmilla, au pied du haut-plateau de la Giara de Gesturi, le petit village de Sini offre les paysages splendides de vertes collines couvertes d'amandiers, de vignes, d'oliviers séculaires et de champs de céréales. Son nom provient de Sinu, devenu ensuite Sini, nom de la conque où se situe le village. Au Moyen-âge, il faisait partie du Judicat d'Arborea puis, sous la domination aragonaise, il devint possession du baron de Tuili, et ensuite du marquis de Laconi. En 1859, sous la domination des Savoie, le village fit partie de la circonscription judiciaire de Lunamatrona dans la juridiction d'Isili.
Les paysages sont magnifiques et l'air pur. Le parc municipal de Cracchera est très intéressant. A la saison pluvieuse, la cascade de Su Strumpu, qui recueille les eaux de pluie de la Giara, anime le paysage. Le territoire est parsemé de nuraghes et de tombes, tandis que céramiques et monnaies ont permis de remonter jusqu'aux origines antiques de Sini, à l'époque romaine. En avril, Sini s'anime pour la Fête de Saint Georges, avec des festivités religieuses et civiles en l'honneur du saint, et la Fête de Su Pani e Saba, consacrée au délicieux gâteau local. Le 12 août, c'est la fête de la sainte patronne du village.
Musée archéologique municipal « Giovanni Patroni »
Le musée, situé dans un vieux bâtiment du centre historique de Pula, est consacré aux découvertes faites dans la ville antique de Nora et dans son territoire.
Nora fut d'abord phénicienne, puis punique, et enfin romaine. Elle se développa entre le VIIe siècle av. J.- C. et le VIIIe siècle, lorsque les incursions arabes obligèrent les habitants à se réfugier dans l'arrière-pays.
L'exposition permet de mieux connaître le thème de la colonisation du territoire et de la fondation de la ville, la plus ancienne de Sardaigne, et présente un aperçu de la vie au cours des siècles, à travers les objets de la vie quotidienne et ceux de la sphère du sacré, liés aux rites et au culte des morts. Les stèles du ' tophet ' punique des Ve-VIIe siècles av. J.-C. sont présentées de façon particulière, en utilisant les photographies qui documentent la découverte et les fouilles. Une intéressante section est dédiée aux découvertes sous-marines : amphores, ancres, céramiques puniques et romaines.
La visite du Musée est un complément indispensable à celle de la ville de Nora.
La plus belle pièce de la collection est la mine d'or avec gorgoneion (tête de Gorgone), le logo du musée, découverte dans une tombe à chambre de la nécropole punique de Nora.
Adresse : corso Vittorio Emanuele, 67 - 09010 Pula tel. 070 9209610 Propriétaire : Mairie de Pula. Gestion : soc. coop. Tur, campeggio Cala d'Ostia - 09010 Pula. Horaires : 9h00 - 20h00 (été) . 9h00 - 17h30 (hiver) . fermé le lundi. Entrée : &euro. 2,50 (plein tarif) . &euro. 2,00 (tarif réduit). Avec visite du site de Nora : &euro. 5,50 (plein tarif), &euro. 4,00 (tarif pour groupe de plus de 20 personnes), &euro. 2,50 (tarif réduit de 6 à 14 ans). Gratuité pour les enfants de moins de 5 ans et les personnes handicapées non autonomes accompagnées. La visite guidée du site est comprise dans le prix du billet (pour les groupes et les scolaires, il est recommandé de réserver). Le musée collabore avec les écoles pour des projets pédagogiques sur le thème de l'archéologie et organise des conférences d'information sur les activités du chantier de fouilles de Nora. La bibliothèque archéologique peut être consultée sur demande. Présence d'une librairie. Des dépliants gratuits sont à la disposition du public. Le musée n'a pas de barrières architecturales. Présence d'un parcours tactile avec des commentaires en Braille.
Ortacesus
Le territoire d'Ortacesus est dans une plaine au nord du bassin du Flumini Mannu. Le village est né dans une zone riche en habitats, le long de la route entre Senorbì et Guasila. On y trouve de nombreuses sources d'eau minérale, Mitza S'Orrù, Mitza Su Fenu et Fontana Bangius, déjà utilisée pour les thermes romains. La région d'Ortacesus a été peuplée dès l'époque nuragique. Les sites archéologiques découverts dans le territoire et les nuraghes sont nombreux, dont le célèbre nuraghe S'Omu de s'Orcu, à la limite avec Guasila. L'origine du toponyme est encore douteuse, mais il est certain que le village s'appelait autrefois Orzochesos, et faisait partie du Judicat de Cagliari, dans la curatoria de la Trexenta. La structure urbaine du village est un reflet de la tradition de cette région, avec des rues étroites et des ruelles qui se croisent à l'infini. Les maisons sont basses et faites avec les matériaux typiques des constructions agricoles.
La visite du Musée du blé est très intéressante pour le visiteur. Il documente les traditions de la culture, du travail et de la consommation du blé dans la région historique de la Trexenta, à laquelle Ortacesus appartient. A conseiller aussi, la visite des églises San Bartolomeo, Sant'Isidoro, San Pietro et Santa Lucia. La fête de Saint Bartolomé, les 24 et 25 août, est très belle : elle associe une procession religieuse de cavaliers en costumes traditionnels accompagnés de musiciens à des feux d'artifice, des courses de chevaux et de vélo, une joute poétique en sarde du Campidano et des danses sur la place du village.
Menhir Museum - Musée de la statuaire préhistorique en Sardaigne
Le musée se trouve à Laconi, au rez-de-chaussée de l'hôtel de ville du XIXe siècle, et il est consacré à l'archéologie du territoire. Il accueille une collection unique en son genre : quarante monolithes, certains gigantesques, qui documentent le développement de la statuaire anthropomorphe dans la préhistoire sarde et ses importantes manifestations dans le Sarcidano.
On y trouve des menhirs sculptés dans la pierre volcanique brune locale et provenant de différents lieux : menhirs proto-anthropomorphes, anthropomorphes asexués, masculins (avec les motifs symboliques de l'homme renversé et du poignard double) et féminins (avec de petits seins coniques ou en disque plat). L'exposition souligne fortement la force de ces sculptures, symboles de nouvelles idéologies religieuses et sociales insérées cependant dans la tradition du Néolithique en Méditerranée.
Le parcours est complété par des céramiques, des outils d'obsidienne et des éléments métalliques datables entre le Néolithique ancien et le Bronze ancien, et provenant de différents endroits et monuments du territoire : parmi ceux-ci, l'allée couverte de Corte Noa et la tombe mégalithique à cercle de Masone Perdu.
Le musée est enrichi par des panneaux explicatifs et par un support multimédia qui fournit des informations utiles pour la visite.
Le Musée est le seul du genre en Italie, car il permet de voir les menhirs de près, ce qui est difficile ailleurs.
Maraté - Musée de l'Art du Cuivre et du Tissu
Le Musée Maraté a son siège dans le couvent des Pères Piaristes, récemment restauré. Il présente le travail du cuivre et le tissage qui, à Isili, montrent à la fois des spécificités et des caractères communs à la tradition sarde.
Le Musée est organisé en deux sections : la première documente le travail traditionnel du cuivre, avec son moyen de commercialisation caractéristique, la vente ambulante . la seconde présente l'art du tissage et la production de tapisseries, véritable synthèse entre innovation et tradition. On y voit la reconstitution d'une boutique de chaudronnier, avec tous les outils originaux y compris le charriot typique de la vente ambulante, chargé d'objets neufs et d'objets usagés récupérés pour fondre de nouveau la matière première. Les thèmes développés sont ceux du travail du cuivre, de la minéralogie, de la métallurgie et de l'utilisation des objets de cuivre dans les activités d'élevage et de la maison, du langage particulier des chaudronniers et des aspects liés à la vente ambulante.
La partie dédiée au tissage expose trente tapisseries de grande valeur artistique, réalisées à la main sur des métiers horizontaux, avec de la laine et des décorations de cuivre. Elles sont accompagnées de croquis de projets et de panneaux qui montrent l'entier parcours technique et artistique, depuis la production de la laine jusqu'aux techniques de teinture avec des plantes tinctoriales et à l'utilisation du cuivre, qui produit des effets de couleurs originaux.
Une vidéo présente, avec une foule de détails, toutes les phases du travail du cuivre et des tissus. La sonorisation du Musée permet de donner un environnement musical aux objets : archives sonores, bruits de l'environnement, langues locales et mélodies accompagnent le visiteur dans un voyage à travers le temps.
Le Musée d'Isili est le seul musée sarde dédié au cuivre. Il décrit la naissance, dans la boutique du chaudronnier, d'objets à la fois utiles et très beaux, comme les casseroles qui constituaient un symbole de statut social pour la mariée. Le parcours guidé permet de visiter les boutiques du cuivre et l'atelier des tisserandes, et d'assister à des démonstrations des techniques de tissage.
Piscinas
Petit village du Bas Sulcis situé entre les villages de Santadi et de Giba, Piscinas, à 66 m d'altitude, compte 886 habitants et a une superficie de 14 km2. Le toponyme est d'origine latine, et correspond au nom du fleuve qui traverse son territoire, le Rio Piscinas. Au Moyen-âge, il appartenait au Judicat de Cagliari, qui le céda ensuite à Pise et à Gênes. Après l'an Mille, le village connu l'installation de moines et la construction de couvents. En 1355, la Villa de Piscinas, mentionnée dans les chartes féodales avec Giba, fut intégrée aux possessions du noble Guantino de Serra. Au XVIe siècle, il fut cédé en fief au Magnifique Pietro Salazar. Au XIXe siècle, il devint une partie de Villarios, crée en 1853 et qui comprenait aussi Giba, Masainas et Sant'Anna Arresi.
La villa patricienne de la famille Salazar, entourée par un grand jardin luxuriant, est un endroit très intéressant. Elle fut construite à la fin du XIXe siècle par l'architecte Giorgio Asproni, fils du député sarde. L'édifice, appelé aussi Villa Bice, accueille aujourd'hui des manifestations culturelles. Certaines zones du territoire, qui ne font pas partie de ses limites administratives mais des villages voisins, sont parsemées de sites archéologiques très intéressants qui témoignent de l'ancienneté de la fréquentation humaine. Les restes trouvés dans la grotte de Su Benatzu, à Monte Miana et dans les domus de janas datent du Néolithique (VIIe- VIe millénaires av. J. -C.). Des vestiges des civilisations phénicienne et carthaginoise ont été retrouvés dans les fortifications de Pani Loriga, construites pour défendre les exploitations agricoles contre les incursions. Piscinas est célèbre pour la production artisanale de nattes de canne sarde réalisées avec du fil de fer recouvert de zinc. Parmi les manifestations qui animent le village, chaque 5 août a lieu la fête dédiée à la Sainte Vierge de la Neige. Le même mois, la ' Fête de l'éleveur et des pâtes ' attire de nombreux touristes. En hiver, le Carnaval paysan est très caractéristique, avec son masque typique appelé Cicittedda.
Senorbì
Situé à 204 m d'altitude, Senorbì est au centre de la Trexenta dont il fut le chef-lieu. Son territoire d'appartenance, qui comprend aussi bien des collines que des plaines bien irriguées, est très fertile et garantit de belles récoltes à la population locale. L'origine de son nom est encore très discutée aujourd'hui, même si la théorie la plus séduisante avance qu'elle dérive de l'union de deux mots latins sin (la déesse lunaire) et Orbis (disque), ayant le sens de ' disque lunaire '. La vieille ville est un labyrinthe de ruelles très étroites bordées de maisons basses. Dans le reste du village en revanche, l'influence de l'architecture du XIXe est tangible et l'on peut y admirer de très beaux exemples de villas. Mais les nombreuses maisons rurales, qui reflètent la structure architecturale typique de la région de la Trexenta, sont souvent très bien conservées, même si elles datent de plus d'un siècle.
À Senorbi, différents circuits de promenades urbaines sont proposés aux visiteurs. Tout d'abord celui des édifices religieux, englobant l'église paroissiale de Santa Barbara, l'église de Santa Mariedda et celle de San Sebastiano. Ensuite, le musée archéologique municipal Sa Domu Nosta, même s'il est petit, est très intéressant à visiter : aménagé dans une vieille maison du Campidano entièrement restaurée, ses collections offrent un cadre exhaustif des pièces archéologiques qui ont été retrouvées dans les alentours du village, tandis que des expositions temporaires y sont organisées à côté des entrepôts et des ateliers. Enfin, à quelques kilomètres du centre habité, on peut admirer la très importante nécropole punique de Monte Luna qui comprend un village (qui n'a pas encore été fouillé) donnant sur la colline. C'est de ce site que proviennent des pièces à la valeur inestimable - et pas uniquement scientifique d'ailleurs - comme des bijoux de femmes aujourd'hui exposés au musée archéologique national de Cagliari. En outre, non loin de Senorbì, la visite aux nuraghes de Sisini et de Simieri est digne d'intérêt. C'est justement dans la fraction de Sisini que se trouve la très belle maison de maître de la famille Aresu, connue comme ' Villa Aresu ' : récemment restaurée, ce vieux monument est doté d'une incontestable valeur historique et architecturale. Enfin, si les collines entourant Senorbì sont sillonnées de parcours de VTT, pendant la saison d'été, ce village devient le théâtre de deux manifestations importantes : le Festival du folklore (la dernière semaine de juillet) et la fête de la sainte Mariedda (le 5 août) pendant laquelle ont lieu des cérémonies religieuses et civiles.
Cala Sabina - Golfo Aranci
À bord du train, le long d'une petite voie ferrée qui part de Golfo Aranci et longe la côte nord du promontoire de Capo Figari, on arrive directement à l'une des plages les plus belles et les plus caractéristiques de la côte de la Gallura. Un large rivage d'environ 300 mètres de sable blanc et fin, entouré de genévriers et de maquis méditerranéen : c'est Cala Sabina, à quelques kilomètres de la ville de Golfo Aranci, dont elle fait partie, et à une vingtaine de kilomètres d'Olbia. L'une de ses particularités est l'histoire de son nom, fruit d'une confusion botanique : le genévrier de Phénicie, qui poussait dans les environs, a été confondu avec le genévrier de Sabine. Un autre élément caractéristique est la ligne de chemin de fer, construite dans les années 1960 pour relier la ville à la station balnéaire, qui n'était jusqu'alors accessible que par la mer.
Protégée par deux petits promontoires surplombant la mer, la baie est très abritée et présente des eaux émeraude peu profondes, adaptées aux familles, alternant avec des galets et des rochers. La plage se caractérise par une partie libre et une partie partiellement aménagée avec des possibilités de baignade et de restauration grâce à des bars, des restaurants et des services touristiques pour les excursions. Vous pouvez partir à la découverte de l'aire marine protégée de Tavolara - Capo Coda Cavallo.
Sur les falaises qui bordent le rivage sablonneux, il est possible de plonger dans des "inspections" sous-marines, tandis que sur le côté le plus à l'est se trouvent de petites criques d'où l'on peut emprunter des sentiers naturels. Ne manquez pas de visiter le promontoire de Capo Figari, également connu pour les expériences technologiques de Guglielmo Marconi, et d'atteindre une autre perle du Golfo Aranci, Cala Moresca.
Parc et musée nuraghe Genna Maria
À plus de 400 mètres de hauteur, enfoui dans un parc arboré parfumé d'essences méditerranéennes, il domine toute Marmilla : la vue arrive jusqu'au golfe d'Oristano à l'ouest et jusqu'à Cagliari, qui se trouve à 50 kilomètres, au sud. L'ensemble nuragique de Genna Maria a été érigé pour contrôler le territoire sur une colline à un kilomètre de Villanovaforru, un village fondé sous la domination espagnole, devenu célèbre après sa découverte à la moitié du XXe siècle. C'est un nuraghe avec une structure complexe : à l'origine, au XVe siècle av.J.-C., un donjon central (de dix mètres de haut) avec une chambre interne était entouré d'un bastion avec trois grandes tours unies par des murs épais, qui renferment aujourd'hui encore une cour avec un puits en partie creusé dans la roche. Dans une seconde phase, aux début de l'âge de Bronze récent (XIIIe siècle av.J.-C.), la tour fut renfermée et en partie entourée par un bastion de quatre tour avec des meurtrières. À son tour, le rempart d'une forme quadrilobe qui vraisemblablement avait une fonction défensive, fut refermé (XIe av.J.-C.) par une puissante muraille à six tours angulaires. Le village se trouve à l'intérieur et à l'extérieur de celle-ci, il est né aux alentours du Xe siècle av. J.-C- et construit en plusieurs phases, comme le témoigne l'évolution des habitations. Les cabanes plus récentes ont des structures complexes à plan centrale, avec des pièces elliptiques, quadrangulaires et rectangulaires, fonctionnelles et décorées avec différentes formes. La ‘maison avec la cour centrale’ est exceptionnelle, elle a une surface de 150 mètres carrés et est divisée en pièces qui convergent en une seule cour.
Le complexe resta longtemps vide à l'âge du Fer, puis, à l'époque punique-romaine (du IVe av.J.-C.), il fut utilisé pour des raisons votives en l'honneur de Déméter et Coré : dans la cour à ciel ouvert, des sacrifices sanglants étaient accomplis, tandis qu'au centre, le sacellum était voué au simulacre et aux ex-votos des fidèles. Les précieuses pièces, au moins 600 lampes à huile, monnaies, vases vitreux et objets en terre cuite, flasques, petites cruches, porte-braise, pintadere, coupes à cuisson, meules, os animaux, évoquant sept siècles de fréquentation et témoignent de l'activité de la communauté nuragique et post-nuragique. Aujourd'hui, ils sont conservés dans un élégant petit édifice du XIXe siècle au centre du village, autrefois le ‘mont granatico’, devenue le musée archéologique Genna Maria. Il expose également des découvertes pré-nuragiques, nuragiques, puniques, romaines et de l'antiquité tardive provenant d’établissements, nécropoles, tombes monumentales des villages de la Marmilla qui forment le consortium sa Corona Arrubia. A l'intérieur, vous revivrez les phases de la vie quotidienne des peuples nuragiques et l'évolution des rites sacrés, jusqu'aux Romains et aux Byzantins.
Cala Domestica
Située sur la côte sud-ouest, la crique de ' Cala Domestica ' est nichée au creux de falaises calcaires blanches. C'est une petite plage de sable mêlé de gravier, parsemée de rochers et bordée de dunes recouvertes par endroits de maquis méditerranéen. Comme elle se trouve dans une ancienne zone minière, on peut encore voir les ruines des bâtiments miniers, les entrepôts et les aires de stockage - où était conservé le minerai avant d'être embarqué - mais aussi des galeries, comme celle qui débouche à la Caletta, une plage aussi abritée que secrète où se trouve l'embouchure d'un torrent. Face à elle, une tour datant de la domination espagnole domine la péninsule calcaire donnant côté sud. Cette localité est particulièrement appréciée des amateurs de chasse sous-marine.
Emprunter la route nationale 83. La plage de Cala Domestica est bien indiquée après Buggerru, en continuant en direction sud.
La plage est très vaste et dotée d'un certain nombre de services tels qu'un grand parking où les camping-cars sont autorisés et une buvette. Ses bas-fonds sont parfaits pour la baignade et constituent un parc de jeux idéal pour les enfants.