Marina di Valledoria
La plage de Valledoria se trouve à côté de Valledoria, un village au centre de la côte nord de la Sardaigne, non loin de Castelsardo. La zone offre différents points d'intérêt. Avant tout, l'étang de Coghinas, derrière la plage, dans lequel se jette le fleuve homonyme, avec l'avifaune caractéristique des zones humides. La plage de Valledoria n'est pas vraiment une plage, mais une zone de marais le long du Coghinas, le troisième fleuve de Sardaigne. Le village voisin de Santa Maria di Coghinas est entouré d'une plaine fertile bonifiée après la première guerre mondiale et célèbre pour la production de tomates et d'artichauts. On peut y voir les thermes de Casteldoria, des sources d'eau tiède qui coulent d'une gorge. Non loin se trouve l'intéressant village de Viddalba, qui possède un Musée archéologique où sont exposées les stèles provenant d'une nécropole romaine. La tour du château des Doria, au début de la route qui mène à Perfugas, mérite aussi la visite. Il remonte au XIIe siècle et on y a une vue stupéfiante sur la région. Les plages situées sur la côte de la commune de Valledoria sont une zone balnéaire très recherchée.
En effet, la plaine de Valledoria forme une littoral d'environ 7 km jusqu'à Badesi, avec une alternance de sable doré et de plages blanches interrompue par l'embouchure du Rio Coghinas. Valledoria n'est pas vraiment une plage, mais une zone de marais près du fleuve Coghinas. Elle offre le magnifique spectacle de dunes de sable colonisées par une végétation verdoyante qui entoure un plan d'eau d'un bleu profond.
On va à la plage de Valledoria par la route nationale S.S 200. Après Valledoria tourner à la première intersection à gauche.
La zone possède un grand parking et on peut y aller avec camping-car et équipement de camping. On y trouve un service de restauration.
Le Dune
La plage de Le Dune, également appelée Sabbie Bianche, est un ensemble de dunes de sable situé dans la localité de Porto Pino, sur la commune de Teulada. Cette très longue et très large plage de sable très fin à la blancheur éclatante donne à l'eau qui la baigne une couleur bleu intense aux reflets changeants. Si les dunes de la plage, qui s'élèvent à 20 ou 30 mètres, sont entièrement de sable blanc, celles qui sont plus loin du littoral sont recouvertes de maquis méditerranéen et de genévriers. Entre cette oasis à la beauté incomparable et la route se trouve un étang - Is Brebeis - qui, pendant les mois d'été, se peuple de nombreux oiseaux migrateurs parmi lesquels les flamants roses. La partie de la plage qui est sous contrôle militaire n'est ouverte au public qu'entre le 20 juin et le 19 septembre. En revanche, le reste de la plage est en accès libre toute l'année.
La plage des Dune se trouvant à l'intérieur d'une zone militaire faisant partie du polygone de Capo Teulada, son accès est limité et autorisé par le Ministère de la Défense italien. Son grand parking payant est également autorisé aux camping-cars. Le rivage est parsemé d'établissements balnéaires où louer des parasols, des chaises-longues et des pédalos, sans compter les bars et autres points de restauration. À quelques kilomètres de là, dans les alentours de la plage de Porto Pino, un camping, différents hôtels et des restaurants sont à la disposition des touristes. Si le fond descend doucement vers le large, le rivage ne présente aucun danger pour les enfants. La chasse sous-marine et le snorkeling sont autorisés.
Fluminimaggiore
Le village de Fluminimaggiore est né en 1704, quand, après un peu plus d'un siècle d'abandon, le Vicomte Ignazio Asquer et sa femme Eleonora Gessa concédèrent à Pietro Angelo Serpi, Francesco Pinna et Pietro Maccioni l'autorisation de reconstruire le village de Flumini Major. Situé sur la rive droite du Rio Mannu, qui coule dans le village, Fluminimaggiore était donc à l'origine un bourg agricole, mais vers le milieu du XIXe siècle, il connut une reconversion en village de mineurs au service de l'activité d'extraction des montagnes de la région d'Iglesias. Le territoire du village s'étend de la mer (avec la belle plage de Portixeddu et le promontoire de Capo Pecora, depuis lequel s'ouvre un panorama sauvage et grandiose) à la montagne, jusqu'aux 1236 m de Perda de sa Mesa.
Le temple d'Antas, est connu dans toute la Sardaigne. Il se dresse à 9 km du village, dans une douce vallée où coule le fleuve de même nom. C'est à l'origine un sanctuaire nuragique à probable valeur funéraire, mais la zone fut fréquentée de façon continue jusqu'à l'antiquité tardive. La divinité honorée apparait sous différents noms : Sid, guerrier et chasseur punique, Babai, lieu local d'origine nuragique, et enfin Sardus Pater à époque romaine. La structure architecturale actuellement visible remonte au IIIe siècle sur un plan d'époque augustéenne. A 5 km du village, à visiter la spectaculaire grotte de Su Mannau, qui possède deux galeries principales où a été trouvé du matériel archéologique, en particulier des lampes à huile votives dédiée à Tanit et au dieu Taurus. Le Musée Archéologique de Fluminimaggiore présente des pièces d'époque nuragique, phénicienne et punique, romaine et médiévale, toutes provenant des sites du territoire.
Un musée ethnographique est installé dans le moulin à eau Licheri, qui remonte au XVIIIe siècle. Il expose une collection d'outils de la vie paysanne et familiale. Enfin, le Musée Paléontologique expose une collection de fossiles provenant du territoire et une reconstitution du milieu marin de l'ère paléozoïque. Les manifestations religieuses les plus intéressantes sont la fête en l'honneur de Sant'Antonio da Padova, le 14 juin, et celles en l'honneur de Sant'Antonio Abate, le 16 janvier.
Pinacothèque Nationale
La Pinacothèque Nationale de Cagliari présente une collection de tableaux anciens constituée à partir du XIXe siècle.
Elle fait partie de l'ensemble de la Citadelle des Musées, une structure culturelle polyvalente, qui comprend le Musée Archéologique et la Pinacothèque, le Département des Sciences Archéologiques, Historiques et Artistiques et l'École de Spécialisation des Études sardes de l'Université de Cagliari, le Musée Ethnographique Régional et le Musée d'Art du Siam (Musée Cardu). Ce projet de musées dans l'ancien Arsenal militaire, conçu par les architectes Pietro Gazzola et Libero Cecchini, a été réalisé graduellement à partir de 1979.
La collection de la Pinacothèque présente au rez-de-chaussée un important ensemble de peintures anciennes de la Sardaigne, comprises entre le XVe et le XVIe siècle, et provenant en grande partie de l'église détruite San Francesco de Stampace, à Cagliari. Elle présente des œuvres du Maître de Castelsardo et de Pietro Cavaro, les plus importants peintres de la Sardaigne de la période du gothique tardif et du début de la Renaissance. Les étages présentent des peintures des XVIIe et XVIIIe siècles, essentiellement de peintres non sardes.
La Pinacothèque de Cagliari est importante surtout pour la possibilité qu'elle offre d'approfondir la connaissance des peintres catalans et sardes qui travaillaient dans l'île aux temps de la domination aragonaise.
Adresse : Cittadella dei Musei, piazza Arsenale, 1 - 09124 Cagliari
Tél. +39 070 662496
Propriétaire : Ministère des biens et des activités culturels
Cala Pira
A mi-chemin entre capo Carbonara et Costa Rei, sur le territoire de Castiadas, vous trouverez un petit coin de paradis : la plage de Cala Pira, protégée par un promontoire sur lequel est perchée la tour, portant le même nom et entourée de granite et de genévriers séculaires. De douces dunes et d’intenses parfums méditerranéens vous plongeront dans une des plus belles côtes de la Sardaigne.
La plage est caractérisée par une eau peu profonde qui sécurise le jeu des enfants et est la destination idéale pour ceux qui aiment se déplacer avec des bateaux de plaisance et les amarrer ici. Elle offre, en outre, d’autres services : elle est accessible aux personnes en situation de handicap et dispose d’un petit parking, un camping et un lieu de restauration.
Tout près vous trouverez d’autres perles du territoire de Castiadas : cala Sinzias, dont la plage est protégée par deux promontoires et entourée d’un bosquet d'eucalyptus avec un camping organisé. Puis la plage de Cannisoni et la magnifique grande plage de San Pietro (cala Marina) avec ses reflets dorés. Des lieux parfaits, avec Cala Pira, pas seulement pour l’été, mais également pour des breaks au printemps et en automne, pour profiter de belles journées ensoleillées. Outre San Pietro, c’est là que commence Costa Rei : dix kilomètres de plages de sable fin et doré qui descendent vers une mer couleur du ciel. Vous rencontrerez dans l’ordre, les plages de monte Turno, de sant’Elmoet et de santa Giusta, jusqu’au scoglio di Peppino, limite entre les territoires de Castiadas et Muravera.
Nous sommes au milieu du Sarrabus, un des territoires les plus fascinants de la Sardaigne. En toile de fond vous pourrez voir le profil montagneux du parc dei Sette Fratelli, magnifique oasis naturelle et lieu idéal pour des promenades tranquilles. Vous passerez rapidement de la côte aux montagnes luxuriantes à travers les collines couvertes de maquis.
Mari Ermi
Mari Ermi est une longue plage de quartz blanc brillant, avec des bandes de sable ocre très fin. Elle est entourée par de hautes dunes et par une végétation basse et au ras du sol, et se trouve entre la mer et l'étang qui porte le même nom. Elle ressemble à la célèbre plage d'Is Arutas, mais présente une plus grande gamme de couleurs, entre la mer limpide très bleue et le sable d'un blanc éclatant avec des bandes ocre doré.
Ses eaux peu profondes et qui descendent lentement en font la plage idéale pour les jeux des enfants. Elle possède un grand parking, un camping et des points de restauration. Mari Ermi est très fréquentée par les véliplanchistes.
Pedra Longa
Au premier abord elle apparaît comme un rocher aux dimensions énormes, en réalité c’est un ‘morceau de montagne’ qui s’est effondré de la falaise environnante à l’aube des temps, trait d’union entre le massif du Gennargentu et le golfe d’Orosei. Pedra Longa est un bloc calcaire dolomitique, faisant intégralement partie (qui s’est détaché) du très vaste plateau de Baunei. Sa conformation ‘en aiguille’ se soulève de la mer jusqu’à une hauteur de 128 mètres : c’est un des affleurements de roche les plus hauts de l’Île directement à pic sur la mer, qui a été déclaré monument naturel en 1993. Le nom d’origine est Aguglia ou Agugliastra, dont dériverait Ogliastra et qui donne l’idée de la forme élargie en bas et élancée vers le haut. C’est le nom que lui donnaient les marins dans le passé sous lequel elle était signalée dans les portulans, en tant que référence visible à de nombreux milles de distance.
La manière la plus fascinante pour la découvrir est à travers des itinéraires à pied qui dégradent des falaises sur la côte. C’est le point de départ du ‘Selvaggio blu’ (Sauvage Bleu), l’itinéraire d’une semaine qui mène de Santa Maria Navarrese, une fraction côtière de Baunei, à Cala Gonone, le trekking le plus difficile d’Italie avec des parties ‘alpines’ et de magnifiques paysages entre les rochers et la mer. La première mini-étape arrive à Pedra Longa, une approche impressionnante et la préparation aux épreuves bien plus difficiles des jours suivants. Sur les quatre kilomètres et demi de parcours l’Ogliastra se révèle dans toute sa beauté à immortaliser sur des photos depuis la petite terrasse à pic sur la mer, juste avant l’arrivée. Un sentier simple de la Pedra, en direction du nord, parallèle à la côte, arrive dans la localité Loppodine. Un autre plus difficile, avec un grand dénivelé, mène derrière la ‘pietra lunga’ (pierre longue), vers le nord, où s’élève la majestueuse pointe Giradili, ‘le toit du golfe’, avec plus de 700 mètres entre les plus hautes falaises de la Méditerranée. Le premier parcours d’escalade sur la Pedra, intitulé ‘lumière sans mémoire’, remonte à 1981, avec ses 250 mètres de long, il se trouve à une hauteur de deux à dix mètres de l’eau. Le parcours, avec une difficulté jusqu’au V+, est libre, sans clous ni cordes : les grimpeurs experts peuvent l’interpréter comme ils croient. Un second chemin sur la paroi sud, appele ‘chromosomes corsaires’, est beau à couper le souffle, mais demande beaucoup de prudence et l’accompagnement de guides. Pedra Longa marque le début de la côte spectaculaire et sauvage de Baunei, une des parties les plus pittoresques de la Méditerranée : 40 kilomètres de bastions calcaires à pic sur les eaux profondes aux tons chatoyants, interrompus ici et là par des criques de galets et fendus de canyons qui arrivent jusqu'à la mer et forment des plages de sable doux et blanc. La Pedra est son seul point d’intérêt accessible directement en voiture sur une route panoramique qui la relie à la route nationale 125 (orientale sarde) : vous arriverez jusqu’à une aire de repos proche du rocher, avec un bar-restaurant. À la base de l’affleurement de roche vous pourrez vous détendre sur une plage de galets. Le fond est caractérisé par des plateaux rocheux qui sont la destination d’amateurs de snorkeling, plongées et pêche sous-marine. À côté, les cascades de Baus jaillissent, où, selon les récits populaires, les Sarrasins se ravitaillent durant l’incursion ratée à Santa Maria Navarrese (moitié du XIXe siècle). Vous pourrez visiter le grand rocher même de la mer, par vous-même ou comme étape du tour guidé avec des bateaux au départ des ports d’Arbatax, Cala Gonone et Santa Maria, qui vous mèneront à la découverte des plages symbole de l’Ogliastra: Cala Goloritzè, Cala Biriola, Cala Mariolu et la ‘petite sœur’ Cala dei Gabbiani, Cala Sisine et le décor digne d’un film de Cala Luna (à moitié avec Dorgali).
Soleminis
Situé à environ 20 km de Cagliari, le village de Soleminis occupe une zone de collines à la limite des derniers reliefs de Serpeddì. C'est une région vouée aux activités agropastorales, l'une des plus fertiles du sud de la Sardaigne, dont les cultures principales sont la vigne, l'olivier et les céréales. Le village produit aussi du pain et du miel. La récolte des herbes aromatiques est particulièrement répandue. Le nom Soleminis apparaît pour la première fois au XIe siècle, lorsque le village faisait partie de la curatoria du Parteolla dans le Judicat de Cagliari. On ne peut cependant exclure que le village ait été habité à la période romaine et byzantine. Jusqu'à la domination aragonaise, le manque de sources écrites ne nous permet pas de connaître les origines et le sort de ce petit village. On sait qu'il est passé au Judicat d'Arborea, puis qu'il a été cédé aux Pisans en 1297. Avec l'arrivée des Espagnols, Soleminis fut donné en fief à l'aragonais Ballester, puis il fut vendu à Calcerando Torrelas pour passer au XVIIIe siècle sous la protection des Amat. A la limite du territoire communal actuel, dans la zone de Sedde'e Cresia, se trouve l'église paroissiale San Giorgio, du XVIe siècle, peut-être construite sur un bâtiment médiéval antérieur. L'église conserve des œuvres d'art de grand prix : sur un mur du presbytère deux tableaux intéressants, l'un représentant la Trinité et la Sainte Famille, réalisé à la fin du XVIe siècle et provenant d'une boutique de Stampace, l'autre représentant une Rédemption, attribué au peintre de Cagliari Sebastiano Scaleta et daté de la moitié du XVIIIe siècle. La statue de Saint Jacques, du XVIIIe siècle, est une sculpture importante, qui fait partie d'un plus vaste groupe de statues de l'artiste sarde Antonio Lonis, ainsi que le crucifix de bois appartenant à l'Archiconfrérie du Rosaire. L'église abrite aussi une important trésor d'objets en argent.
Le centre de Soleminis conserve encore les anciennes constructions réalisées selon l'architecture rurale traditionnelle en briques de terre crue, en particulier la maison Corda Spada, transformée en Centre culturel. Elle conserve aussi une très belle collection ethnographique, ainsi que des meubles, des objets et des outils de la vie quotidienne. On peut venir à Soleminis toute l'année, car les fêtes y sont nombreuses. Le 17 janvier, on fête Saint Antoine le Grand, avec la distribution des oranges bénites, des mandarines, du pain et du vin, autour de la chaleur d'un grand feu, allumé après une belle procession de nuit à la lumière des flambeaux. Le 2 février a lieu la fête de la Chandeleur, qui rappelle la présentation de Jésus au Temple. La dernière semaine de mai, c'est Saint Isidore, le protecteur des agriculteurs, avec une fête folklorique au cours de laquelle la statue du saint est transportée jusqu'à la chapelle, accompagnée par un cortège de fidèles, cavaliers, groupes en costume traditionnel et traccas (chars à bœufs décorés pour la fête), avec des dégustations de produits typiques locaux, comme les fèves, la ricotta, le pain et la vernaccia. La fête la plus importante de l'année est celle qui honore le saint patron de Soleminis, Saint Jacques, ainsi que Sainte Anne, les 25 et 26 juillet : durant deux jours, les festivités religieuses et civiles se succèdent avec la participation de la population entière à travers des expositions d'artisanat et de peinture, des présentations de films et des feux d'artifice.
Porto Cuau
La plage de Porto Cuau est une magnifique petite crique difficilement accessible, comme l'indique son nom : en effet, cuau signifie ' caché '. Ses fonds sont rocheux, et elle est entourée de hautes parois rocheuses piquées de la végétation typique du maquis méditerranéen. Ses eaux sont extrêmement transparentes, et la plage, peu fréquentée, est aimée par les pêcheurs sous-marins et par les baigneurs.
Porto Cuau se trouve dans le golfe d'Orosei, à Porto Cuau sur la commune de Baunei. On ne peut y aller que par la mer. C'est donc l'endroit idéal pour ceux qui aiment passer leur vacances en bateau, ou pour ceux qui veulent faire une excursion à bord des bateaux qui partent de Cala Gonone, Arbatax ou Santa Maria Navarrese. On peut aussi arriver à la crique par un sentier de randonnée qui est cependant très difficile.
Su Tingiosu
Su Tingiosu se trouve à Mari Ermi, sur la commune de Cabras. C'est une plage de sable jaune-rouge avec de petits cailloux de quartz multicolores, des pierres et de petits rochers. Située entre la mer et les étangs, la plage est proche de Porto Suedda, un petit port pour les chalutiers et les petites barques de pêcheurs, entouré des cabanes faites de branches de végétation locale. En continuant vers le nord sur une route de terre pendant 5 km environ, on dépasse le Cap Sa Sturaggia et on arrive à la Rocca Su Cantaru, entre les falaises calcaires qui offrent un abri aux oiseaux de mer, dont les cormorans et les mouettes. On peut continuer pour la Punta S'Incodina, une falaise d'où l'on voit l'île de Mal di Ventre.
Prendre la route départementale SP 66 vers Riola Sardo. 5 km après San Salvatore di Sinis, prendre à gauche la route SP 7, en suivant les indications pour Mari Ermi, puis continuer sur environ 300 mètres, du côté mer.
La plage offre quelques services, dont un grand parking et un bar.