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Cala Domestica

Située sur la côte sud-ouest, la crique de ' Cala Domestica ' est nichée au creux de falaises calcaires blanches. C'est une petite plage de sable mêlé de gravier, parsemée de rochers et bordée de dunes recouvertes par endroits de maquis méditerranéen. Comme elle se trouve dans une ancienne zone minière, on peut encore voir les ruines des bâtiments miniers, les entrepôts et les aires de stockage - où était conservé le minerai avant d'être embarqué - mais aussi des galeries, comme celle qui débouche à la Caletta, une plage aussi abritée que secrète où se trouve l'embouchure d'un torrent. Face à elle, une tour datant de la domination espagnole domine la péninsule calcaire donnant côté sud. Cette localité est particulièrement appréciée des amateurs de chasse sous-marine. 

Emprunter la route nationale 83. La plage de Cala Domestica est bien indiquée après Buggerru, en continuant en direction sud.

La plage est très vaste et dotée d'un certain nombre de services tels qu'un grand parking où les camping-cars sont autorisés et une buvette. Ses bas-fonds sont parfaits pour la baignade et constituent un parc de jeux idéal pour les enfants.

Parc du Monte Arci

Le plus grand gisement d’obsidienne en Sardaigne, caché dans les entrailles d’un mont volcanique. L’habit vert du massif du mont Arci se dresse au milieu de la plaine d’Uras, à la limite nord-oriental du Campidano, couverte de coulées de lave basaltique, qui révèlent son origine et une histoire millénaire. Les cheminées volcaniques culminent sur ses pointes : 812 mètres de Trebina Longa, 795 de Trebina Lada et 463 de Corongiu de Sizoa. Trois sommets qui évoquent l’image d’un trépied.

La surface du parc régional de l’Arci (270 kilomètres carrés) est comprise sur le territoire de onze Communes de la région d’Oristano - Ales, Marrubiu, Masullas, Morgongiori, Palmas Arborea, Pau, Santa Giusta, Siris, Usellus, Villaurbana et Villaverde.

L’obsidienne, rare dans la Méditerranée et idéale pour construire des armes et des outils préhistoriques, a été une attraction, à partir du VIe millénaire av. J.-C., pour les anciennes populations qui arrivaient en Sardaigne pour s’approvisionner en ce précieux minéral. Les gisements de Perdas Urias, s’Ennixeddu et su Forru de is Sintzurreddus Pau), Roja Cannas Masullas) et le haut-plateau de santa Luxia Usellus), ont été des centres de collecte et des ateliers de transformation. Dans le musée de Pau, vous pourrez connaître les histoires millénaires que l’obsidienne a générées. Des sculptures contemporaines provenant de grands blocs foncés sont exposées dans le village. Des guides du musée accompagnent pour des excursions dans les carrières. Le général La Marmora affirma de n’avoir jamais vu ailleurs une telle quantité de pierre noire et brillante. Dans le parc il ne faut pas manquer même le nuraghe Brunk’e s’Omu Villaverde) et le sanctuaire dans la grotte Domu de is Coambus Morgongiori).

La plupart de la zone du mont est couverte de chênes verts avec des touches de chênes-lièges, chênes et de maquis méditerranéen. Un exemple splendide de chênes-verts est s’Acqua Frida sur le territoire d’Ales, riche de sources. Les bois sont peuplés de sangliers, belettes, martres, renards et des cerfs et des daims ont été réintroduits. Ils sont survolés par des palombes, pinsons, geais et huppes. Tandis que, parmi les rapaces, le passereau, l’épervier, le faucon crécerellette et le pèlerin font leur nid.

 

Aidomaggiore

Ancien village agro-pastoral situé au sommet du plateau d'Abbasanta, immergé dans de verdoyantes forêts de chênes-lièges, des oliveraies, des vignobles et des vergers, surplombant l'un des plus grands réservoirs artificiels d'Europe, le lac Omodeo, aujourd'hui devenu une attraction touristique majeure. Aidomaggiore est la destination idéale pour les amateurs de nature et d'archéologie. Vous pourrez profiter de vues magnifiques au cours d'excursions passionnantes, explorer les eaux du lac en canoë et visiter divers sites sur son territoire, notamment les domus de Janas, les Tombe di Giganti (tombes des géants) et les nuraghi Sanilo, sa Jua et Tosingalo, le plus imposant des trois. Immergé dans le maquis méditerranéen, il s'agit d'un bâtiment à tour unique qui se distingue par sa construction en pierres de basalte noires. La cellule intérieure est dotée d'une terrasse de huit mètres de haut, à laquelle on accède par un escalier.

En ce qui concerne la culture, deux églises de campagne sont spectaculaires. Santa Greca, datant de 1797 et située à cinq kilomètres de la ville, se trouve sur une belle colline, près de la rivière Omodeo. Elle a été construite dans l'espace où se trouvait une église plus ancienne (Santa Giusta), elle-même construite sur les ruines d'un camp romain qui existait jusqu'à la fin de l'époque impériale. Le périmètre de l'aire sacrée est riche en établissements, y compris préhistoriques : non loin du novenario, on trouve d'autres nuraghi (Atos, Mura e Logu, Uras). L'actuelle Santa Maria delle Grazie (ou de Orraccu) date du XVIIe siècle, mais son origine est bien plus ancienne. Ici, le 8 septembre est célébré par des danses, de la musique et des spectacles traditionnels donnés par des groupes folkloriques venus de toute la Sardaigne. La fête se termine par le retour de la statue de Maria Bambina en procession jusqu'à l'église de Santa Maria delle Palme, dans le centre ville.

La splendide situation de l'église offre une large vue sur l'Omodeo, jusqu'aux montagnes de Barbagia et de Mandrolisai. Ce n'est pas un hasard si elle est devenue un lieu de défense stratégique, connu sous le nom de "Sa Bastia". En ce qui concerne les fêtes et les traditions, Aidomaggiore est également célèbre pour les feux de Saint-Antoine, le carnaval et, surtout, les rites de la Semaine Sainte.

Sa Jara Manna - Giara di Gesturi

Une île dans l’Île, un lieu magique dont les caractéristiques morphologiques et floristiques-faunistiques sont absolument uniques. La Giara, comprise en Marmilla et Sarcidano est un haut-plateau basaltique d’origine volcanique. Elle est connue également comme Giara dei Gesturi (nommée sa Jara manna), mais concerne le territoire de dix Communes : Albagiara, Assolo, Genoni, Genuri, Gesturi, Gonnosnò, Senis, Setzu, Sini et Tuili. Le mot dérive peut-être de glarea, gravier, caractéristique de ces lieux.

Du haut de la Giara, la vue va du Gennargentu au Campidano, de la Marmilla à la mer dans le lointain. Le symbole de son territoire est une espèce équine unique en Europe, de nature sauvage et de petite taille, dont l’origine est méconnue. Il semble que le petit cheval de la Giara a été introduit durant la période nuragique ou punique. Au cours du Moyen-âge des troupeaux entiers vivaient sur l’Île, certains peuplaient Sant’Antioco jusqu’à la fin du XIXe siècle. L’unique lieu où ils vivent aujourd’hui à l’état sauvage est la Giara où ils se sont adaptés particulièrement bien. Vous pourrez les observer de près pendant qu’ils galopent entre les chênes-lièges, chênes, chênes verts, oliviers sauvages et maquis méditerranéen. Dans le haut-plateau de Gesturi, en plus des petits chevaux, on peut facilement rencontrer des sangliers, lièvres, oies et renards et assister au vol de plus de soixante espèces de volatiles. La zone est ce qui convient de mieux à l’équitation et au vélo.

Mais cette zone et les voisines ne sont pas les seules à être parfaites pour une excursion archéologique : au pied de sa Jara manna se dresse un des ensembles nuragiques les plus importants de l’Île, c’est su Nuraxi di Barumini, l’unique reconnu comme inscrit au patrimoine de l’Humanité par l’UNESCO. Tout près il existe d’autres hauts-plateaux basaltiques, comme la Giara de Siddi (appelée su Pranu), où se trouve la tombe des géants sa domu ‘e s’Orku, et la Giara de Serri avec le magnifique sanctuaire nuragique de santa Vittoria.

Pan di Zucchero

En contemplant au coucher du soleil le rocher imposant qui sort de la mer à quelques mètres de la côte, l'étonnement s'accroit: la lumière du soleil se propage de la silhouette calcaire avec toutes les nuances du jaune et de l'orange. Pan di Zucchero (Pain de Sucre) est l'un des monuments naturels les plus imposants et spectaculaires de l'Ile, symbole de la côte d'Iglesias. Le nom dérive de la ressemblance avec le célèbre Pão de Açúcar de la baie de Rio de Janeiro et, au XVIIIe siècle il remplaçait déjà le nom sarde Concali su Terràinu. Vous vous y rendrez en zodiaque ou en bateau à partir de la magnifique plage de Masua, une fraction côtière d'Iglesias qui se trouve à deux kilomètres et demi.

Après avoir accompli l'entreprise difficile consistant à atteindre ses parois rocheuses, les amateurs d'escalade, avec l'équipement et le support des guides spécialisés, peuvent escalader ses 133 mètres: c'est le faraglione (stack) le plus haut de la Méditerranée. Sur son sommet vous dominerez du regard les trois «petits frères» situés tout près, dont deux nommés s’Agusteri et il Mort, le plus au sud. Les quatre faraglioni (stacks) de Masua sont homogènes et reliés d'un point de vue structurel, une partie intégrante du monument: leur couleur blanc-céruléen se détache sur la côte d'en face en raison d'une teinte violacée. Ils se composent de calcaire cambrien, quasiment pur du point de vue chimique, et sont issus de l'érosion marine qui en a provoqué le détachement de la terre ferme, pour la précision, de la falaise de la pointe is Cicalas: le bras de mer de 300 mètres qui les sépare est souvent agité.

Pan di Zucchero a une forme massive et arrondie. Des phénomènes karstiques ont percé sa surface en marches plates, donnant lieu à deux grottes en forme de tunnels. Elles s'ouvrent au niveau de la mer, respectivement de 20 et 25 mètres de long, toutes les deux sont l'habitat d'oiseaux marins, une peut être traversée avec de petits bateaux. En face de l'ilot, l'accès à la mer du tunnel minier de Porto Flavia est suspendu magiquement à la moitié de la paroi rocheuse en surplomb. C'est l'extrémité la plus visible d'un ensemble futuriste de tunnels souterrains qui se terminent en une construction sculptée dans la falaise. C'est d'ici que les minéraux étaient chargés directement sur les navires marchands. Aux pieds de la mine, voici la grotte del Soffione, dont le nom dérive des vagues qui s'insinuent dans sa cavité et se «brisent» avec de gros embruns. Tandis qu'à côté des ruines minières, on trouve la petite plage de Porto Flavia: du petit lido, destination des amateurs de plongées, le contraste chromatique entre le blanc-grisâtre de la roche calcaire du géant marin, du bleu de la mer et du vert d'une pinède tout autour, vous feront briller les yeux.

Toute la côte d'Iglesias a un charme sauvage et une grande variété de paysages. À ne pas rater Porto Paglia et Nebida, une autre petite fraction «minière». Le Canal Grande de Nebida s'insinue à deux kilomètres au nord de is Cicalas: c'est une vallée longue et étroite, parcourue par un torrent qui se jette dans une crique «en fjord», caractérisée par une petit plage et une série de grottes: aux pieds de la falaise, la grotte de Canal Grande, un tunnel de 150 mètres qui traverse le promontoire de part en part, à fleur d'eau; la grotte delle spigole s'ouvre sous la paroi au nord. Encore plus au nord, les criques de porto Sciusciau et la magnifique Cala Domestica se détachent sur le territoire de Buggerru. Vous pourrez visiter Canal Grande même par la terre en partant de Masua : un trekking sur les traces du travail minier. Le littoral et, plus en général, la vie de la zone d'Iglesias ont été profondément marqués par l'activité des mines. Vers la fin du XIXe siècle, la mine de Masua était une grande zone d'extraction, maintenant est un village-fantôme, une étape du chemin minier de santa Barbara et une partie du parc géominier de la Sardaigne, patrimoine par l’UNESCO.

Antiquarium Arborense

L'Antiquarium Arborense a été créé à Oristano en 1938, à la suite de l'achat par le Podestat local, de la collection Pischedda, la plus grande collection privée d'archéologie de Sardaigne. Le Musée est aussi appelé ' Musée Archéologique Giuseppe Pau '.

Le rez-de-chaussée du musée est réservé aux expositions temporaires d'archéologie, tandis que l'étage est dédié à l'exposition permanente des collections archéologiques et de certains retables des XVe-XVIe siècles, accompagnés de commentaires explicatifs. La salle d'archéologie accueille la collection Pischedda et d'autres collections moins importantes, qui rassemblent des objets recueillis essentiellement dans la péninsule du Sinis appartenant à la période préhistorique et proto-historique, du Néolithique à la civilisation nuragique. Les mobiliers funéraires phéniciens et puniques (VIIe - IIIe siècles av. J. -C.), en particulier ceux provenant de Tharros, sont aussi bien représentés, de même que les pièces d'époque romaine, paléochrétienne et du haut Moyen-âge (IIe s. av. J. -C. - VIIe s.). A noter, la maquette de Tharros au début du IVe s. av. J. -C.

A coté de la salle d'archéologie, la salle des retables présente les panneaux parvenus jusqu'à nous du ' Retable de Saint Martin ' (XVe s.) et du ' Retable du Christ Saint ' de Pietro Cavaro (XVIe s.). On y trouve également la maquette de la ville d'Oristano, capitale du Judicat d'Arborea, au XIIe siècle.

Les pièces exposées permettent de reconstruire l'histoire du territoire et de son centre le plus important, Oristano. Les pièces maîtresses sont la coupe figurant Hercule luttant contre le taureau de Crète, de production mycénienne et attique, un brule-parfum représentant Hercule avec la léonté, la peau de lion, d'époque carthaginoise, la collection de céramiques étrusques provenant de Tharros, la plus riche découverte hors d'Étrurie, et les vases en verre soufflé d'époque romaine.

Le Monte Arcuentu

Le massif volcanique du Monte Arcuentu, qui se développe dans l'arrière-pays parallèlement à la Costa verde, confine au sud avec le massif du Monte Linas. Si ses roches sont surtout de nature basaltique, des tufs de pierre ponce fossilifère descendant vers la côte peuvent être observés sur le versant ouest. Le noyau central, dont le Monte Arcuentu (784 m) est le plus haut sommet, est constitué d'une série d'aiguilles basaltiques qui font que ce paysage volcanique, pratiquement déshabité, est réellement spectaculaire. Le Monte Maiori (725 m), séparé du Monte Arcuentu par le col de Genna Flore (498 m), est une autre cime importante. Les ruines d'un château sur le sommet du Monte Arcuentu attestent la présence d'un poste militaire qui jouissait d'une vue particulièrement dégagée, aussi bien vers la côte que vers l'intérieur des terres, en direction du Campidano.

Scivu

C’est un des coins les plus beaux de la Costa Verde, à l’intérieur du territoire d’Arbus, un village du Medio Campidano. Il n’est pas facile à atteindre et, par conséquent, il est encore plus pittoresque, entouré d’une nature quasiment intacte, sans implantations dans les alentours. À Scivu vous pourrez entendre un silence assourdissant interrompu seulement par le ressac de la mer et les cris des mouettes.

La plage de sable clair, ‘parlante’ en raison de l’écho que l’on entend en y marchant dessus, est divisée en deux par une petite falaise, paradis des pêcheurs sous-marins. Sur les côtés et derrière, elle est encadrée de roches rosâtres et des dunes douces, constellées de pistachier lentisque, genêt, arbousier et genévrier qui descendent des montagnes à la mer. Vous y arriverez après avoir parcouru une route panoramique, en sillonnant les sentiers entre les dunes ou bien en faisant une promenade le long de la côte.

L’eau est d’une transparence étonnante, la couleur est éblouissante quand elle est éclairée par les reflets du soleil. Le moment le plus captivant est le coucher du soleil quand le sable et les parois rocheuses se colorent en rouge. Le fond est varié : ravins, bancs de sable et rochers éparpillés, tout ce que recherchent les passionnés de randonnés palmées.

La plage est équipée d’un grand parking, situé près de la plage de Nuraci, indiqué même pour les camping-cars, avec un lieu de restauration et la location de matériel. Le vent est souvent fort, non sans raison, c’est la destination idéale pour les surfeurs. Avec précaution, toutefois, car la mer de la Costa Verde est spectaculaire et sauvage, mais rarement calme. En outre, pour les passionnés de surf-casting c’est un des hot spots les plus renommés : quasiment toutes les espèces méditerranéennes de poissons sont présentes.

Les dunes sont caractéristiques de toute la Costa Verde : ne manquez pas l’occasion de visiter les Sabbie d’Oro de Pistis, la magnifique Torre dei Corsari, les très belles Funtanazza, Marina di Arbus et Portu Maga, le ‘désert’ de sable de Piscinas qui, avec Scivu, représente la perle de la côte, jusqu’à arriver à capo Pecora, destination aimée par les plongeurs et les pêcheurs.

Sa Mesa Longa

Sa Mesa Longa se trouve à Putzu Idu, sur la commune de San Vero Milis. C'est une plage de sable jaune-rouge, moyennement gros, avec des grains roses sur le rivage et des zones de rochers polis. Située entre Capo Mannu et Su Pallosu, elle est aussi appelée la Laguna à cause d'une longue bande de rocher plat affleurant, qui forme comme une longue table (sa mesa) où l'on peut aller à la nage, car elle est proche du rivage. Cette très belle plage est variée et multicolore, entre l'ocre du sable, le rose-rouge du rivage et le noir des rochers qui partagent la plage en deux au bord de l'eau. Cette sorte d'énorme piscine, peu profonde, donne à la plage tout son charme spectaculaire.

L'eau peu profonde et qui descend doucement la rend idéale pour la baignade et le jeu des enfants. Elle possède un grand parking, accessible également aux camping-cars, et un point de restauration.

Prendre la route départementale SP 10, après Putzu Idu, en direction du nord, en suivant les panneaux pour Su Pallosu, puis les indications pour la plage.

Pistis

Cette très belle plage de sable doré, qui s'étire sur presque 2 km, est bordée de dunes assez élevées recouvertes d'un épais maquis méditerranéen parsemé de genévriers. La puissance du mistral, qui a vigoureusement repoussé vers l'intérieur le sable accumulé sur la côte par la mer, a donné naissance à des collines atteignant jusqu'à 30 m de hauteur. La finesse du sable doré, les dunes sculptées par le vent ainsi que les quelques arbres tortueux et rabougris par la sècheresse témoignent du microclimat particulier qui sévit dans cette région, presque comparable à un ' petit Sahara '. Pendant les journées les plus ensoleillées, la mer devient d'une couleur vert émeraude. Les amoureux des rochers trouveront aussi leur bonheur puisque les extrémités de la plage sont formées de longs blocs de basalte. Une série de petites criques, surplombées de falaises sombres, forment un paysage aussi suggestif que captivant.