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Sud

La Conca

La Conca est une place de galets surplombée de falaises. En traversant ses eaux cristallines, les rayons du soleil créent des reflets polychromes sur le fond marin qui est parsemé de hauts rochers sombres. En outre, la présence de rochers à pic sur la mer et délimitant une piscine naturelle d'eaux profondes font que La Conca est la destination idéale des amateurs de plongeons. Mais La Conca attire aussi les passionnés de spéléologie qui viennent admirer le panorama inoubliable des nombreuses grottes qu'elle contient.

La Conca est dotée d'un petit parking, d'un point de restauration et d'un bar. Elle est particulièrement appréciée des amateurs de chasse sous-marine, et de tous ceux qui souhaitent tout simplement s'immerger dans ses eaux pour y admirer la richesse de son écosystème marin.

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La forêt de Monte Nieddu

La forêt de Monte Nieddu est très riche en bois de chênes verts, ifs, chênes lièges, arbousiers, lentisques, et comprend aussi un épais maquis méditerranéen. Cette aire est importante, d'abord pour sa faune - avec les migrations saisonnières de cerfs sardes et de sangliers - ensuite pour son histoire . avec ses installations minières (Pantaleo) -, enfin pour sa culture paysanne. Les bois et le maquis couvrent 80% de la superficie de la forêt. Comprise sur les communes de Villa San Pietro, Sarroch et Capoterra, elle s'étend sur 2 451 ha et compte parmi les aires destinées à faire partie du Parc naturel du Sulcis. Elle couvre pour moitié environ l'aire de la forêt de Monte Arcosu et en partie sur l' ' Oasis permanente de la protection de la faune de Gutturu Mannu - Monte Arcosu ' . la localité de Bidda Mores est aussi d'un intérêt naturaliste certain. C'est dans la zone de Santa Barbara que l'on peut admirer le paysage enchanteur crée par le canal de Bidda Mores car il a creusé un profond fossé dans la roche granitique nue. Par ailleurs, en parcourant la vallée du Rio Nieddu . qui s'écoule parallèlement à certaines portions de la route reliant Villa San Pietro au Monte Nieddu -, on ne peut manquer de remarquer les splendides exemplaires de laurier rose qui ressortent dans une végétation à feuilles persistantes constituée d'oliviers sauvages, de lentisque et de genévrier. Cette forêt, très épaisse par endroits, est constituée de taillis de chênes verts . caractéristiques du maquis-forêt - et de chênes lièges. Les espèces animales qui l'habitent sont aussi nombreuses qu'importantes du point de vue naturaliste et historique, puisqu'un nombre conséquent de cerfs sardes a été réintroduit et que ce mammifère représente maintenant le groupe le plus nombreux, même si l'on peut aussi rencontrer des sangliers, des renards, des belettes, des chats sauvages ainsi que des loirs. Pour ce qui est de l'avifaune, il n'est pas rare de voir voler des exemplaires d'aigle royal, d'aigle de Bonelli, d'épervier et des palombes.

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Le Saline

Le Saline est une plage de fin sable doré. De hautes dunes la séparent d'un étang où niche des espèces d'oiseaux caractéristiques de cette zone. D'ailleurs, à certaines périodes de l'année, on peut y admirer des flamants roses et des échasses.

La plage est dotée de nombreux services : grand parking, hôtel, bar et point de restauration. En outre, les bas-fonds qui la caractérisent permettent aux enfants de jouer aisément dans l'eau. Il est possible de louer des parasols, des chaises-longues et des pédalos. C'est la destination idéale des surfeurs, des amateurs de chasse sous-marine, et de ceux qui souhaitent tout simplement s'immerger dans ses eaux cristallines pour y admirer les merveilleux fonds marins.

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Campidano

La forêt domaniale de Campidano s'étend sur 1 600 ha d'un territoire couvrant quatre communes (Sinnai, Settimo S. Pietro, Dolianova et Soleminis) et, se trouvant à peu de kilomètres au nord de Cagliari, elle est très fréquentée de touristes. Ses points les plus élevés atteignent 655 m (Bruncu Baraccu) et 629 m (Bruncu Cirronis). Le noyau historique de cette forêt domaniale fut acheté par l'administration forestière autour de l'année 1900 dans le but de reboiser cette aire. Aujourd'hui, suite aux travaux qui ont été effectués au cours du temps, aussi bien la pinède d'arbres adultes (pin d'Alep) de Sa Pira . aussi créée grâce au travail des prisonniers autrichiens pendant la Première Guerre mondiale . que le petit bois de chênes lièges plantée en 1906 dans la zone appelée Landireddus revêtent un intérêt tout particulier.

C'est à Sa Pira que se trouvent le centre de chantier et l'infopoint. La faune comprend des espèces plutôt communes come le lapin sauvage, le lièvre sarde, la perdrix et la caille ou encore des oiseaux migrateurs tandis que le renard et le sanglier sarde n'habitent que les parties plus boisées. Dans la localité de Bruncu Mogumu, il est possible d'observer un site archéologique encore en fouilles et en cours d'études où ont été découverts les restes d'un petit temple nuragique de la protohistoire (même si des matériels phéniciens datant du VIIème s. av. J.-C. y ont aussi été retrouvés).

Cette forêt abrite en outre un vivier intéressant à visiter dans la localité Mont'Arrubiu où le public peut se procurer des plantes selon les modalités prévues par le règlement. Non loin de là se trouve aussi l'ex-caserne forestière qui, après avoir été restaurée, est maintenant un centre d'éducation à l'environnement où se déroulent des activités d'information, de sensibilisation, de divulgation et d'éducation environnementale de l'Agence forestière.

Depuis le village de Sinnai, cette forêt se trouve au bout de la Via de la Pineta . elle est en revanche à environ 5 kilomètres de la route partiellement goudronnée qui part de Soleminis.

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Mine de Nebida

Sa laverie en briques et pierres visibles donne sur la côte de Masua, offrant des panoramas pittoresques, parmi lesquels le rocher de Pan di Zucchero, que vous pourrez admirer au cours d’une promenade panoramique. Du complexe de l’ancienne mine de plomb et de zinc de Nebida – hameau d’Iglesias, à 15 km – il reste aujourd’hui, en plus de l’imposante laverie donnant sur la mer, le bâtiment des bureaux techniques et administratifs et le petit village minier. Ce patrimoine reconnu par l’Unesco, qui fait partie intégrante du parc géominier de la Sardaigne, est un des endroits les plus intéressants de toute l’île concernant l’archéologie industrielle. Il est accessible en logeant la plage de Fontanamare.

Les premiers travaux d’ingénierie minière importants remontent à la seconde moitié du XIXe siècle, à la même époque que les mines du Salto Gessa de Buggerru. Le village minier de Nebida commença alors à se développer autour de la place, du club des travailleurs, de l’infirmerie, des bureaux administratifs et de l’église. Le centre accueillait en 1910 trois mille personnes, dont un tiers étaient employées dans la mine. Aujourd’hui, avec ses cent habitants environ, c’est presque un village fantôme. Les chantiers s’étendent sur la montagne. Le style de construction typique des sites miniers est néomédiéval, comme le montrent les corniches à denticules des bureaux administratifs et les fenêtres en ogive. Donnant sur la mer, la splendide laverie Lamarmora, réalisée en 1897, servait à traiter le plomb et le zinc. La structure est composée de quatre volumes superposés décorés d’arcs, se déroulant sur la côte. Sur les côtés, deux fours et deux cheminées. L’intérieur accueillait les équipements de séparation et de classement des minéraux, ainsi que des pièces réservées à leur stockage, une machine à vapeur et la salle des fours. Dans la partie inférieure, un dépôt et un petit port servaient aux barques s’occupant du transport. Le sol est en terre cuite et le toit, aujourd’hui perdu, en bois. La mine connut une longue période florissante durant la première moitié du XXe siècle, interrompue par les deux guerres mondiales, avec un sommet dans les années trente. La grande crise de l’exploitation dans les années soixante-dix marqua son déclin et le dépeuplement de Nebida.

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Village minier de Rosas

Rosas, découvert en 1832 dans la région de Narcao, fut reconnu comme zone minière en 1849. En 1851, le roi Victor Emmanuel II donna la concession de l'extraction de la galène à la Société Anonyme de l'Union Minière du Sulcis et du Serrabus. Dans ses galeries furent extraits du plomb, du zinc et du fer. Le site resta en activité jusqu'en 1980, quand il fut définitivement fermé. L'ensemble d'édifices et des structures minières a été restauré et restructuré pour devenir un musée et un lieu d'accueil, ce qui donna naissance au Musée-Village minier de Rosas, qui fait aujourd'hui partie des sites protégés par l'Unesco. C'est un grand musée à ciel ouvert dans un environnement de haute valeur naturelle. La laverie est le véritable cœur de la mine, où l'on peut admirer les grands moulins pour le travail du minerai, en parfait état de marche.

Au premier étage, les salles multimédias font revivre à travers des écrans et des ' puits ' l'épopée minière sarde, et en particulier l'histoire de Rosas et des mines de Narcao racontée par ses acteurs, les vieux mineurs. Un autre espace d'exposition s'ouvre sur la grande place au centre du village. A l'intérieur, des panneaux explicatifs, des documents et des équipements de travail permettent de revivre les évènements de Rosas, depuis sa découverte jusqu'à son déclin et à sa renaissance comme grande structure, entre musée et nature. On peut aussi visiter la galerie sainte Barbara, où l'on voit les systèmes et les conditions de travail dans une mine de plomb et de zinc.

On peut également visiter l'ex-bureau de poste et la Direction (devenue aujourd'hui restaurant), le four de calcination, les dépôts de stockage (aujourd'hui espace d'exposition), la forge (aujourd'hui un bar), l'hôtellerie et les logements des mineurs. Ces derniers, restaurés, sont devenus des maisons de vacances où l'on peut séjourner en pleine détente, au cœur d'un environnement historique et naturel exceptionnel.

La visite est comme une fenêtre ouverte sur l'histoire d'une des plus importantes mines de plomb et de zinc de Sardaigne, et surtout sur la vie d'une communauté fortement liée au dur travail de la mine.

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Is Mortorius

La plage d'Is Mortorius se trouve sur la commune de Quartu Sant'Elena. Elle est faite de graviers ronds de différentes tailles, de sable, et de rochers. Ses eaux sont limpides, et on peut y observer une bande de rochers polis par la mer qui abritent toute une faune de patelles et d'oursins. Dans les environs se trouvent les deux criques de Baia Azzurra, encadrées par la végétation et les parois rocheuses.

Prendre la route départementale SP 17 en direction de Cagliari : la plage se trouve entre la tour Mortorius et Terramala, et elle est indiquée.

La plage possède un petit parking, Ses eaux peu profondes la rendent adaptée pour les jeux des enfants. Elle est peu fréquentée, et appréciée par ceux qui pratiquent la chasse sous-marine.

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Isola Piana

C'est un petit îlot récemment transformé en village-vacances. Si la baignade est autorisée, il est interdit d'explorer l'île qui abrita longtemps la ' tonnara Villamarina ' avec ses bâtiments et ses infrastructures caractéristiques.
Depuis ses côtes, on peut apercevoir le tout petit îlot des ' Topi ', tel un magnifique rocher à fleur d'eau.

La plage de l'Isola Piana se trouve dans la localité du même nom, sur la commune de Carloforte. Comme elle est située sur le détroit qui sépare l'île de San Pietro du reste de la Sardaigne, on ne peut y arriver que par la mer.

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Maladroxia

L'île de Sant'Antioco est la plus grande des îles mineures de Sardaigne, et elle est reliée à la terre ferme par un isthme probablement construit par les carthaginois et renforcé par les romains. Ses côtes sont découpées au sud, avec de hautes falaises de roches trachytiques, tandis qu'elles sont plus sableuses au nord. Les deux villages importants sont Calasetta, qui possède un port de plaisance très bien équipé, et Sant'Antioco, avec ses nombreux services et ses importants sites archéologiques, historiques et artistiques. La plage de Maladroxia offre aux touristes qui veulent plonger dans ses eaux cristallines des fonds peu profonds de fin sable gris, entourés de rochers et d'écueils. Le panorama est dominé par la route de la côte Est du golfe de Palmas. Derrière la plage se trouve un village de vacances et une colline dominée par le nuraghe S'Ega de Marteddu. Exposée au vent, c'est l'endroit idéal pour les surfeurs et ceux qui veulent pratiquer la pêche sous-marine.

En arrivant à Sant'Antioco, avant le village, prendre à gauche en suivant le panneau ' Spiagge '. Parcourir 5 km, et au croisement pour Maladroxia, tourner à gauche. Continuer sur 2,5 km, jusqu'au village de vacances du même nom et à la plage.

La plage offre de nombreux services : elle est accessible aux personnes handicapées, et possède un grand parking, des hôtels, bars et restaurants. Ses eaux peu profondes la rendent idéale pour les jeux des enfants. On peut y louer des parasols, chaises longues et pédalos.

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Musée Scrinia Sacra

Le musée d'art religieux de Guasila se trouve dans le centre historique du village, proche de l'église paroissiale Beata Vergine Assunta, conçue en 1839 en style néoclassique par l'architecte de Cagliari Gaetano Cima et construite entre 1842 et 1852. Il est abrité dans un ensemble d'une grande importance architecturale et historique, l'ancienne Banque du blé et l'ancienne Mairie. Les objets d'argent et les ornements sacerdotaux sont exposés dans les belles pièces des anciennes prisons récemment restaurées.

Une plaque, datée de 1841, témoigne de l'époque de la construction du premier noyau de la prison, agrandie par la suite (1857) pour devenir la mairie, puis le commissariat de police, et enfin une école au milieu du XXe siècle.

La collection est constituée d'objets liturgiques et religieux et d'ornements sacrés provenant de l'église paroissiale, dont certains sont encore utilisés à l'occasion des cérémonies les plus importantes. Elle est exposée de façon chronologique, et se développe en six salles thématiques. Les trois premières salles, avec leurs voutes en berceau, se présentent au visiteur comme de véritables écrins qui protègent les objets les plus précieux : le mobilier liturgique, les reliquaires et les ex-voto, qui couvrent une période allant du XVIe au XXe siècle. Les bijoux en or et pierres précieuses et une croix réalisée par l'orfèvre de Cagliari Giovanni Mameli se distinguent par leur raffinement, ainsi que la pièce la plus ancienne, un reliquaire du XVIe siècle lignum crucis de l'orfèvre de Cagliari originaire de Valence Gaspare Castaneda. Les autres salles présentent les ornements faits de tissus précieux et de broderies, dont ceux ayant appartenu à Monseigneur Giuseppe Melas (1901-1970), évêque de Nuoro natif de Guasila.

Les précieuses collections du musée sont liées à la mémoire du culte dans le village et à l'histoire de l'église de la Beata Vergine Assunta, l'un des édifices néoclassiques les plus importants de Sardaigne, devenu sanctuaire diocésain en 2002.

Adresse :

via E. Sailis 6, 09040 Guasila (CA)

Tél. 070 986861 - portable 329 1004578 - fax 070 986005

Propriétaire : Mairie de Guasila.